Passer son permis moto et réussir du premier coup n’est pas une évidence étant donné que cet examen fait partie des plus compliqués. Cette perception suscite souvent la panique chez les candidats. Sous le coup du stress, le risque de faillir est imminent, même pour une personne bien préparée. Découvrez les différents conseils qui peuvent aider les candidats à contourner les obstacles et à optimiser leur chance de passer toutes les épreuves et d’obtenir leur permis.
1. Suivre des cours de conduite auprès d’une moto-école compétente
Nombreux sont les établissements qui suggèrent leur formation aux personnes qui désirent conduire des deux-roues, tel le cas de la moto école Easy Monneret. Le choix doit se faire avec attention pour pouvoir conduire une moto en toute sécurité et dans la légalité. En effet, l’intéressé doit être en mesure de réussir les différentes épreuves lors du passage du permis. Ces examens sont composés d’un test théorique et d’une partie pratique. L’examen de conduite a lieu uniquement après la réussite au test théorique. Justement à propos de la pratique, les épreuves se divisent en deux, dont la première s’effectue sur un plateau en dehors de la circulation, et la seconde consiste à rouler sur route. Lors de cette dernière, le candidat est amené à faire un freinage d’urgence, à effectuer un slalom et à déplacer l’engin sans que le moteur tourne.
Tous ces détails montrent à quel point les apprentissages au sein d’une bonne moto-école sont indispensables. La réputation de l’établissement fait partie des critères de sélection. Quelques investigations peuvent être utiles pour s’assurer d’obtenir les bonnes informations. Normalement, une moto-école qui a pignon sur rue :
- reste disponible pour les apprenants qui lui font confiance ;
- collabore avec des moniteurs diplômés et expérimentés afin de garantir l’excellence des cours fournis, aussi bien sur le plan théorique que pratique ;
- fournit tous les moyens aux apprenants pour qu’ils réussissent, comme l’utilisation d’un simulateur de conduite et le stage de pilotage pour pouvoir mieux s’entraîner.
Le taux de réussite de la moto-école est également un indicateur de performance qui en dit long sur la compétence du corps enseignement et de son système. L’objectif de la réforme de 2020 est d’octroyer le permis aux personnes jugées aptes à conduire une moto dans les règles de l’art. Les candidats n’ont aucune raison de rater leur examen lorsqu’ils sont bien accompagnés.
2. Prévoir les bons équipements lors du passage du permis moto
En matière de sécurité routière, le port des équipements de protection adéquats est impératif lors de la conduite d’une moto. Les matériels obligatoires qu’un motard doit posséder sont :
- des chaussures montantes ou des bottes pour bien couvrir les malléoles ;
- une veste ou un blouson à manches longues ;
- des gants homologués, fins et légers pour faciliter la préhension ;
- un casque homologué
Un pantalon solide, bien adapté à la situation est également indispensable. Le candidat doit emmener ces équipements avec lui le jour J de l’examen du permis A1 ou A2. La meilleure façon d’éviter les mauvaises surprises et de réduire le stress est de se les procurer bien à l’avance. S’y prendre au moment de l’intégration de la moto-école est une excellente initiative. Le futur motard a l’occasion de s’y habituer et d’être à l’aise lors des épreuves pratiques.
3. Réviser les cours théoriques du code
Le fait d’acheter les équipements susmentionnés et espérer passer l’examen de conduite est peine perdue si les règles du code ne sont pas maîtrisées. Le futur jeune conducteur doit à tout prix réussir les épreuves théoriques avant de passer à la suite. Une bonne révision s’impose afin de tout mémoriser. À chaque personne de trouver les moyens de pouvoir retenir les cours théoriques, comme l’établissement d’une fiche par exemple.
4. Être au top de sa forme
Une préparation aussi bien mentale que physique est fondamentale avant de passer son permis moto. Une nuit de sommeil apaisante et un repas léger sont nécessaires pour être dans de bonnes conditions. Les équipements, la tenue et les documents sont à préparer la veille pour ne rien oublier en partant. L’idéal est d’arriver avant l’heure prévue pour ne pas se précipiter, et encore moins pour ne pas être en retard. Ces détails peuvent être à la source d’un stress inutile, mieux vaut prendre les dispositions nécessaires pour être dans un bon état d’esprit.
5. Éviter les pièges et ne pas se laisser aller
L’inspecteur n’hésite pas à tester le réflexe et l’attention des candidats pendant l’examen de conduite. Une attention particulière doit être portée à ses paroles, tout en restant focus sur la route. L’examinateur peut induire le candidat en erreur pour le piéger. Dans un tel contexte, le jeune conducteur doit rester posé et lui répondre calmement en lui donnant les explications sur son action. Aucune négligence ne doit avoir lieu au moment du retour vers le centre d’examen.